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— À la médiathèque Michel-Crépeau, du 02.07 au 30.09, une exposition consacrée au photographe Philippe R. Doumic qui, dans les années 1960, réalise pour Unifrance 15 000 photographies d’actrices, d’acteurs et de réalisateurs, pour promouvoir le jeune cinéma français. Beaucoup de ces étoiles montantes sont devenues des stars : Catherine Deneuve, Alain Delon, Brigitte Bardot… Nombre des images de Philippe Doumic ont depuis fait le tour du monde (célèbre photo de Jean-Luc Godard examinant une pellicule 35mm) mais le nom du photographe est demeuré dans l’ombre.
Cette exposition de 70 portraits réalisés par Philippe Doumic sera complétée par la projection du documentaire que sa fille, Laurence Doumic-Roux, lui a consacré.
En collaboration avec la médiathèque Michel-Crépeau et les éditions Capricci qui publient le 6 octobre un beau-livre rendant hommage au travail de Philippe Doumic à travers plus de 250 photographies grand format.

— Précommandes et offres spéciales : capricci.fr

— À la chapelle des Dames blanches, à l’occasion de la grande rétrospective “Une histoire du cinéma portugais” en 26 films, le musée du Cinéma de Melgaço sera pour la première fois accueilli en France, avec un florilège de la riche collection d’affiches de Jean-Loup Passek, fondateur de ce musée et directeur du Festival du film de La Rochelle jusqu’en 2001. Des photographies et dédicaces de cinéastes complétent cette exposition ainsi que deux films d’archives des années 1930 dont le premier court métrage tourné par Manoel de Oliveira en 1931 sur les rives du Douro.
Dans le cadre de la Saison France - Portugal, en collaboration avec la Ville de La Rochelle, Astre, le Museu de Cinema de Melgaço – Jean-Loup Passek, la Cinemateca portuguesa et GP Archives.

— À la Porte Maubec, l’artiste Christian Châtel fera l’éloge du spectateur et de la salle de cinéma avec une installation originale. 50 ans, 50 fauteuils - Flash-back Memories, A Tribute to the Audience rend un hommage légitime au fauteuil de cinéma, symbole de la place du spectateur.
Et puisqu’une fois n’est pas coutume, ça ne sera pas la toile qui recevra la lumière du projecteur mais bel et bien les fauteuils, ces spectateurs anonymes, silencieux ou bruyants, anciens ou modernes, confortables ou non, mais qui, à chaque nouvelle projection, offrent et ouvrent un espace et un temps au regard sur le monde.

— Participez à la campagne de financement de cette œuvre originale
En collaboration avec Wallonie-Bruxelles International.