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image+nation 24 : Dévoilement de la programmation 2011 (26 octobre au 6 novembre)


image+nation
,
le doyen des festivals de films LGBT au Canada, est fier de dévoiler la
programmation de sa 24e édition qui se tiendra à Montréal du 26 octobre au 6
novembre 2011
. Cette année, plus de 125 courts et longs-métrages ont été
réunis pour rendre compte de la multiplicité des voix et des perspectives, pour
documenter des luttes et des victoires sociales et pour faire découvrir les richesses
et les secrets d’autres cultures. Composée des meilleures œuvres queer
de la récente année, cette impressionnante sélection promet d’assouvir la faim
des cinéphiles gais ainsi que celle d’un auditoire plus large. C’est pourquoi image+nation
invite la communauté LGBT, son public fidèle, à venir accompagné de leurs
bien-aimé(e)s – qu’il s’agisse d’ami(e)s, de parents, de collègues de travail
ou de camarades cinéphiles. Une foule d’histoires à partager sont en effet au
programme de cette 24e édition haute en couleur.

FILMS
D’OUVERTURE ET DE CLÔTURE
Le
mercredi 26 octobre prochain, à 20 h au Cinéma Impérial (1432, rue Bleury), la
24e édition d’image+nation démarrera en trombe avec Four More
Years
, une savoureuse comédie romantique signée par la cinéaste
suédoise Tova Magnusson-Nörling. Dans la spirale des rivalités
politiques, David Holst (Björn Kjellman), un politicien ambitieux, voit sa vie
chamboulée le jour où il fait la rencontre de Martin (Eric Ericsson), le tout
nouveau premier ministre d’État du parti socialiste désormais au pouvoir. Lors
d’un débat amical entre les deux hommes, l’impossible se produit : ils
échangent un premier baiser. L’intrigue s’aventure dès lors sur le terrain
complexe des enjeux gais dans un monde orchestré où l’épanouissement personnel
se heurte à la nécessité de maintenir une certaine image publique. Mené de main
de maître par la réalisatrice, le scénario de William Berhman est bien rendu à
l’écran par la chimie entre les deux principaux acteurs, tandis que la trame
sonore vivifiante de Mauro Scocco appuie efficacement le tempo rapide de
l’action. Pétillante satire politique sur fond romantique
, Four More Years
est une comédie inoubliable qui redéfinit ce que cela signifie d'être
«bipartisan».

Le
dimanche 6 novembre à 20 h 30, au Théâtre Hall-Concordia (1455, de Maisonneuve
O.), image+nation couronnera 11 jours de cinéma exceptionnel en
présentant Leave it On The Floor, une comédie musicale réalisée
par Sheldon Larry. Destiné à devenir un futur classique du genre, Leave
it On The Floor
a été présenté en première canadienne au Festival de
Toronto, où il a littéralement soulevé les foules. Le long-métrage suit les
tribulations de Brad (Ephraim Sykes), un jeune adulte jeté à la rue par une
mère homophobe, qui fait bientôt la rencontre de marginaux célébrant le voguing
et la culture des bals gais. Brad est ainsi propulsé dans le milieu qui a
inspiré Madonna, celui-là même qui a été admirablement dépeint par le
documentaire culte Paris Is Burning, de Jennie Livingston,
projeté cette année par image+nation en présentation spéciale 20e
anniversaire. On ne peut plus urbain, Leave It On The Floor propose
une série de chansons alliant la franchise émotionnelle de Hedwig and the
Angry
Inch à l’éclat dynamique des chants de Glee. En y
ajoutant du romantisme, un triangle amoureux tragique et un clin d’œil à Lady
Gaga et à Justin Timberlake, le réalisateur Sheldon Larry et l’auteur Glen
Gaylord signent une comédie musicale des plus entraînantes sur la découverte de
soi et de sa vraie famille.

DES
FILMS À PARTAGER ENTRE CINÉPHILES
La
24e édition du festival image+nation regorge de films innovants ayant
été encensés par la critique partout à travers le monde.

Récompensé
du Prix Teddy décerné au meilleur film LGBT, Ausente (Absent) du
cinéaste argentin Marco Berger (Plan B, image+nation 2010), nous
plonge dans un fin thriller psychologique aux résonances hitchcockiennes, à
travers l’histoire d’un adolescent s’immisçant dangeureusement dans l’intimité
de son professeur d’éducation physique.

Une
cinématographie grandiose et poétique –  qui n’est pas sans rappeler celle
de Terrence Malick – s’allie à un ensorcelant drame historique dans Black
Field
, premier long-métrage de Vardis Marinakis se déroulant en 1654,
où une jeune androgyne révèle un terrible secret au soldat blessé qu’elle est
chargée de soigner.

Après
un passage très remarqué à Sundance, Codependent Lesbian Space Alien
Seeks Same
, une pétillante comédie en noir et blanc signée Madeleine
Olnek, rend ommage aux films de science-fiction de série B avec des dialogues
incroyablement intelligents et un message des plus persuasifs.

Ceux
qui rêvent d’intrigues et de personnages atypiques ne voudront pas non plus
manquer Joe + Belle, une comédie noire, sophistiquée et
terriblement séduisante de Veronica Kedar, sorte de Thelma & Louise
israëlien suivant le parcours rocambolesque de deux parias en cavale à
Tel-Aviv.

Grand
gagnant du Prix du public au Festival de Sundance de 2011, Circumstance,
de Maryam Keshavarz, dépeint l’Iran tel qu’il a rarement été vu sur les écrans
nord-américains, où l’histoire d’amour de deux adolescentes au sein d’une
société qui désapprouve l’homosexualité met en lumière une culture
contemporaine en conflit entre le présent et le passé.

Également
acclamé à Sundance (où il a été salué comme l’un des meilleurs films
indépendants de l’année), Weekend, écrit, monté et réalisé par
Andrew Haigh, dépeint la vie des hommes gais d’aujourd’hui avec un sens du
détail et une authenticité qui nous rappelle les films de Cassavetes ou de Mike
Leigh.

Accueilli
comme l’œuvre la plus sexy présentée à Frameline en 2011, toute l’incandescence
de l’été est condensée dans August, premier long-métrage d’Eldar
Rapaport, œuvre à mi-chemin entre Rashomon et Memento explorant
la complexité d’un triangle amoureux en épousant tour à tour le point de vue
des trois principaux personnages.

Le
neuxième long-métrage de Gaël Morel, Notre paradis, constitue
quant à lui une fascinante synthèse d’Avant que j’oublie et de Bonnie
& Clyde
, relatant le tumultueux parcours de deux antihéros prostitués
en route vers le paradis perdu.

Un couple lesbien tout aussi inoubliable vole la vedette dans Walking
Towards
(Camminando Verso) de Roberto Cuzzillo, œuvre
intimiste et lancinante abordant les répercussions de conflits mondiaux au sein
de relations interpersonnelles.

Un
film dont tous s’estimeront heureux de découvrir est Mi último
round (My Last Round)
, quatrième long-métrage du chilien Julio
Jorquera, posant un regard d’une sensibilité rare sur la notion de masculinité
et les difficultés de vivre dans le secret.

La
découverte est tout aussi inestimable en ce qui a trait au film Shame
(Zonde)
, du néerlandais Simon Sliphorst, récit hybride entre Le
festin de Babette
et Mort à Venise, relatant un amour
intergénérationel et le pouvoir de changer sa vie même à un âge avancé.

En
nomination pour le Grand Prix du Jury à Sundance, Gun Hill Road,
du cinéaste Rashaad Ernesto Green, explore les tensions entre un père récemment
sorti de prison et son enfant transgenre qui lutte pour mener une vie conforme
à l’identité qu’il s’est choisi.

Enfin,
comme l’histoire du cinéma l’a maintes fois prouvé, il arrive que certains
films tirent avantage d’un petit budget en redoublant d’inventivité. C’est le
cas notamment pour Break My Fall, de Kanchi Wichmann, Harvest,
de l’allemand Benjamin Cantu, Bumblefuck, USA, d’Aaron Douglas
Johnston, et Les fraises des bois, de Dominique Choisy.

DES
HISTOIRES LGBT D’HIER ET D’AUJOURD’HUI SUR GRAND ÉCRAN
La
24e édition d’image+nation comporte une panoplie de films qui, en plus
de leurs prouesses cinématographiques, se distinguent par la force de leur
intrigue et le portrait qu’ils nous offrent de la vie et de certaines
thématiques LGBT.

Issues de la Grande Bretagne, trois adaptations de classiques de la littérature
gaie nous plongent dans le passé : Christopher & His Kind de
Geoffrey Sax, basé sur les écrits d’Isherwood; The Night Watch,
de Richard Laxton, adaptation du quatrième roman de Sarah Waters; et Daphne,
de Clare Beavan, retraçant la vie de la romancière Daphe Du Maurier. Deux films
revisitent avec intelligence et délicatesse le thème du coming out : The
Guide (O Xenagos)
, du Grec Zacharias Mavroeidis, et Kawa,
de la cinéaste néozélandaise Katie Woolf, basé sur un roman de Witi Ihimaera
(auteur de The Whale Rider). Le quotidien singulier de certains groupes
gais est quant à lui dépeint par les films Shahada, de Burhan
Qurbani, Buffering, de Darren Flaxstone et Christian Martin, Kink
Crusaders
, de Michael Skiffet, et Rent Boys, de Rosa von
Praunheim (Queens Don’t Cry).

Plusieurs incontournables issus de l’Amérique ont été sélectionnés cette année
: Longhorns de David Lewis,  Au Pair, Kansas
de J.T. O’Neal,
Man
2 Man: A Gay Man’s Guide to Finding Love
, de Christopher Hines, Eating
Out : The Open Weekend
de Q. Allan Brocka, Going Down in LA-LA
Land
de Casper Andreas Judas Kiss, de J.T. Tepnapa. En
provenance du Canada, image+nation présente Everything and
Everyone
, de Tracy D. Smith.

Les
films lesbiens ne sont pas en reste dans le cadre de cette 24e édition d’image+nation.
Le festival présentera notamment Tomboy, de Céline Sciamma (Prix
du Jury Teddy, Berlinale 2011), La Robe du soir, de Myriam Aziza,
Lip Service (la version britannique de The L Word / Elles),
So Hard To Forget (Como Esquecer), de la brésilienne Malu de
Martino, La fille de Montréal de la cinéaste montréalaise Jeanne
Crépeau, et Cloudburst, de Thom Fitzgerald (The Hanging Garden,
1997) mettant en vedette les performances magistrales d’Olympia Dukakis et de
Brenda Fricker.

DES FILMS
MUSICAUX RASSEMBLEURS
Le
festival serait bien sûr incomplet sans une poignée de films musicaux des plus
sensationnnels : Mary Lou, de Eytan Fox (Yossi & Yagger,
The Bubble), Jamie and Jessie Are Not Together de Wendy Jo
Carlton (Hannah Free) et What’s The Name of the Dame? d’Allan
Neuwirth.

LES
AVANT-GARDISTES
Rendant
hommage aux personnalités LGBT non-conformistes qui ont contribué à modeler et
à définir la culture queer contemporaine, la 24e édition d’image+nation
offre à ses festivaliers la chance de revisiter la carrière du cinéaste Bruce
LaBruce dans The Advocate for Fagdom d’Angéline Bosio; du célèbre
Vito Russo dans Vito, de Jeffrey Schwarz; de Robert Opel dans Uncle
Bob
; et de Yves St-Laurent dans L’amour fou, de Pierre
Thoretton.

VIES
VÉCUES : SÉRIES DOCUMENTAIRES
Cette
année, les documentaires d’image+nation posent un regard sur le  «
nouvel » Ancien Monde, explorant le statut de l’homosexualité dans des cultures
qui lui sont traditionnellement fermées avec I Am, de Sonali
Gulati, East Bloc Love, de Logan Mucha, Not Quite the
Taliban
, de Fadi Hindash, et plus près de nous, aux États-Unis, Wish
Me Away
, de Bobbie Birleffi et Beverly Kopf,

Également, trois documentaires explorent les nouveaux défis qu’engendre une
population LGBT vieillissante : Gen Silent, de Stu Maddux, Margaret
& Evergon
, de Donald Wrinkler et There’s no Hole In My Head,
de Alison Seger.

Dans
un dernier temps, une série de docmentaires explore les zones d’ombres et
d’ambiguïté liées à l’orientation et à l’idendité sexuelles : Orchids: My
Intersex Adventure
, de Phoebe Hart, (A) Sexual, d’Angela
Tucker, et Bisexualité : Territoires secrets de Suzanne Guy.

COURTS-MÉTRAGES
Sept
merveilleuses séries de courts-métrages en provenance de partout dans le monde
seront présentées dans le cadre de cette 24e édition d’image+nation : Queerement
Québec
, Chasse à l’homme, Lesbomundo, Homomundo,
Histoires de filles, Histoires de gars et Voix
de l’avenir
.

L’ÉPIDÉMIE
À L’ÉCRAN : 30 ANS DE VIH/SIDA
En
cette 30e année de lutte contre le VIH/SIDA, l’écrivain et conférencier Matthew
Hays
donnera une allocution sur l’histoire de cette épidémie telle qu’elle
est présentée à l’écran. En plus de cette conférence, image+nation présente
We Were Here, un compte-rendu lucide et concis de la crise du
sida à San Francisco. Acclamé au Festival de Sundance de 2011, le documentaire
de David Weissman s’appuie sur des témoignages détaillés et intimes pour
traduire en termes humains un drame inimaginable.

HOMMAGE
À ELIZABETH TAYLOR
image+nation profitera de sa
24e édition pour rendre un vibrant hommage à une icône gaie qui s’est éteinte
en 2011. Cat on a Hot Tin Roof (1958) et Reflections in a
Golden Eye
(1967) seront en effet projetés sur nos écrans en l’honneur
de la prolifique star hollywoodienne Elizabeth Taylor.

PRÉSENTATION
SPÉCIALE DU DOCUMENTAIRE « PARIS IS BURNING »
Pour
terminer, le public est invité à se replonger dans l’histoire LGBT avec une
séance rétrospective d’un documentaire marquant, Paris is Burning
de Jennie Livingston documentant, de 1987 à 1989, la vie des danseurs
gais et transsexuels rivalisant d’originalité et de glamour dans les salles de
bal de New York. Avant Madonna, avant Glee, il y avait Paris
is Burning
.

Avec une programmation riche et pour tous les goûts, image+nation vous
invite à partager vos histoires avec vos bien-aim(e)s ! Bon festival !

BILLETTERIE ET
INFORMATIONS GÉNÉRALES

PRÉVENTE
DES BILLETS : Café Java U Village
(1259, Ste-Catherine Est / métro Beaudry)
21 et 24 octobre : 17h à 20h
22 et 23 octobre : 15h à 20h

Pendant
le festival, la billetterie centrale d’image+nation sera au Théâtre Hall
Concordia et sera ouvertes 45 minutes avant la première séance du jour. Les
billets (au plein tarif seulement) peuvent également être achetés en ligne au :
www.image-nation.org

PRIX :
Billet individuel : 11,50$; carte cinéphile 10@95$; billet étudiant et âge d’or
(65+) : 8$

La 24e
édition d’image+nation aura lieu aux endroits suivants : Cinéma Impérial,
Centre Sandra & Leo Kolber, salle Lucie et André Chagnon
(1432, rue
Bleury), Théâtre Hall Concordia (1455, Boul. Maisonneuve Ouest), Cinéma
de Sève
(1400, Boul. Maisonneuve Ouest), Cinéma Goethe-Institut
(418, rue Sherbrooke Est).

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