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Les points forts du festival Les Inattendus

Après un peu plus de 10 ans d’existence, la 6ème édition du festival Les Inattendus aura lieu du 21 au 27 janvier 2008 à Lyon. Cet événement biennal nous a permis d’accompagner le devenir des images en mouvement sur une décennie, surtout celles qui ne trouvaient pas toujours leur place dans les circuits de diffusion traditionnels. Dès le départ, nous avions le pressentiment que l’accessibilité croissante des outils de création audiovisuelle allait bousculer le paysage.
Les mutations technologiques survenues pendant ces années, qui ont permis à un nombre croissant de personnes d’accéder à ces outils, ont fait naître des utopies. Dorénavant, il serait possible de faire apparaître des réalités cachées, agir à l’encontre des normes esthétiques en vigueur, procéder à des expérimentations, mélanger les genres, traiter des sujets censurés, faire entendre des voix brimées, faire concurrence, justement, aux fameux circuits télévisuels et cinématographiques traditionnels. Utopies répétées à chaque apparition d’un nouveau matériel de tournage léger. Par le passé, le 16mm, le Super 8mm, la vidéo portable ont inspiré de nombreux artistes pour ces mêmes raisons. Ils doivent, à chaque fois, se rendre à l’évidence que créer est une chose et diffuser une autre. Exemple récent : en dépit d’une législation qui le permet depuis 2000, aucune chaîne de télévision associative nationale n’existe en France. Zalea TV, qui depuis lors œuvre pour créer une telle chaîne, a renoncé à son projet en septembre 2007, faute d’autorisation du CSA.
Aujourd’hui, l’image en mouvement, et le son qui l’accompagne, ont migré sur la multiplication des écrans qui nous entourent. Du téléphone mobile au grand écran dans l’espace public, en passant par les sites internet, l’image peut surgir à tous les coins de rue, dans le salon, ou sortir d’une poche. Ce nouveau don d’ubiquité peut procurer aux artistes de nouvelles possibilités de diffusion. Quel sens alors cela peut avoir de continuer un festival comme Les Inattendus ?
Remettre les œuvres dans un dispositif « d’origine » – une salle obscure et la vision collective d’œuvres projetées – exige du spectateur une autre attention. Une attention qui lui permet de mieux appréhender les œuvres en question. Ensuite, au fil des séances, le dialogue des œuvres entre elles peut produire de nouveaux sens.
Enfin, la présence des réalisateurs rend possible la rencontre et l’échange avec le public. Elle permet aussi la confrontation de ces expériences singulières que porte chaque réalisateur.
C’est le mieux voir qui nous importe. Mieux voir le film, mieux voir le monde.
***
Comme par le passé, notre quartier général sera la salle de l’Elysée, ancien cinéma
du quartier de la Guillotière à Lyon. Le Musée des Moulages et le café De
l’autre Côté du Pont sur le cours Gambetta, mais aussi le cinéma CNP de Bellecour,
juste de l’autre côté du Rhône, seront nos autres lieux de projection ainsi que, pour deux films de Jean-Claude Rousseau, le CNP Terreaux



LA SELECTION

Nous avons reçu 1200 films, et sélectionné plus de 120. Des œuvres variées et engagées, de tous formats, durées et genres. Des films qui ont tendance à transgresser les normes. Sur pellicule, sur vidéo ou commandé par ordinateur, sous forme de film, d’installation ou performance. Quatre films sur 10 proviennent de l’étranger, des cinq continents. L’ensemble de ces oeuvres donne un aperçu de la vitalité de la création cinématographique et audiovisuelle aujourd’hui, en dehors des circuits de production commerciaux. La grande majorité de ces films sera montrée pour la première fois à Lyon.

Plus de 70 réalisateurs seront présents aux projections.

Les séances sont parfois construites autour d’une thématique, parfois autour d’une approche esthétique similaire. Leur composition joue du contrepoint ou de l’analogie.
Nous nous efforçons de donner une tonalité, un sens à chacune d’elles. Ainsi, nous avons tenté de déceler les problématiques qui semblent retenir le souffle des réalisateurs. Une façon d’interroger à travers les représentations qui en sont données le bout de monde qui nous entoure. Les paragraphes qui suivent, qui ne peuvent être exhaustifs, évoquent quelques uns de ces problématiques.


LE TRAVAIL
Dans plusieurs films, c’est la place du travail qui est explorée. Un concept que taraudent et épuisent les métamorphoses sociétales contemporaines, qui nous exhortent à devenir des entrepreneurs de nous-mêmes. Que ce soit autour d’activités ancestrales: la pêche dans Esprit de corps d’Olivier Volcovici et Scandale de Francois Lathuillière et Mathieu Bonnet, ou de petits boulots parfois absurdes tels ceux joués dans les sketchs doux-amers de Plastik(s) du travail du Studio de Sculpture Sociale, ou ceux inventés dans Comment je suis devenu guide de voyage de Jan Peters, qui pousse jusqu’à l’absurde l’idée de l’entreprise unipersonnelle, le travail est scruté comme force d’aliénation mais aussi, encore, de cohésion, comme dans Poussières de femmes de Lucie Thierry, où à partir d’un travail de Sisyphe auquel se livrent des femmes africaines à Ouagadougou tous les jours, elles témoignent de leurs luttes pour exister.
En même temps, le déterminisme du travail est mis en doute, notamment dans Qui dit mieux de Pierre Carles, Christophe Coello et Stéphane Goxe, un montage des débats autour des deux films précédents des auteurs qui aborde cette question : ne vaudrait-il pas mieux travailler moins pour gagner moins ?
Le mécano-soudeur de Eloge de la Perruque de Jean Riant, a pu pratiquer son art de sculpteur pendant son temps de travail, sur son lieu de travail et avec les matériaux de son employeur, il y a 25 ans. Serait-ce envisageable aujourd’hui ?

MONDIALISATION
Plusieurs films traitent de différents aspects de la mondialisation et des transformations qu’elle impose.
Dans Nawna, la fragilité d’une communauté Inuit sédentarisée à Cambridge Bay, dans le Grand Nord canadien, est exprimée par les images d’une grande finesse de Nazim Djemaï, témoignant de la lente disparition d’un mode de vie traditionnelle. L’ambiance nocturne de Pour l’empire, de Amy Carroy, renforce l’inquiétude que transmet ce documentaire sur le veilleur de nuit d’une usine française désormais fantôme, depuis la rélocalisation des ses activités.
Mais si The catalogue de Chris Oakley démontre comment nos habitudes de vie et de consommation sont de de plus en plus cernées pour les besoins du commerce, Endless de Wenhua Shi insiste sur l’irréductibilité de la petite flamme de nos existences. En contrepoint aussi, les films de Ben Rivers, qui dans Astika et This is my land, en 16mm et noir et blanc, nous présente des personnages qui tentent de vivre en dehors des règles courantes de la société.

FRONTIERES
Cette mondialisation a exacerbé la notion de frontière, au centre ou en arrière-plan de plusieurs films.
Université terre d’asile retrace la lutte pour loger des familles sans papiers à Tours. Franck Wolff et Brice Cartier réussissent ici à traiter d’une manière globale, humaine et politique, les questions posées par l’accueil d’immigrés non « choisis ».
Love and Words de Sylvie Ballyot, tourné au Yemen, retrace, à travers une expression sensible, le difficile dialogue des cultures par rapport à la (homo )sexualité. A travers les films de Jared Katsiane de Boston, de yann beauvais, de Edson Barrus, de Jean-Luc Dang et d’Yza Mouhib, c’est l’image médiatique des banlieues, dont l’étymologie française comprend la notion de bannissement, qui est déconstruite ou démentie.
Plus près du quotidien, nous voyons, avec Les protestants de Clarisse Hahn, les stratégies éducatives et sociales que peuvent employer le groupe familial pour préserver son intégrité. Puis avec Libro, de Daniel de Felice, comment la famille elle-même peut être le siège d’une oppression.
Autant d’occasions de méditer sur les frontières, visibles et invisibles, érigées pour « faire la différence », pour se protéger de l’Autre…

LA REPRESENTATION CINEMATOGRAPHIQUE
Les films de Roger Deutsch – Dead people et Mario makes a movie, remettent au centre de leur questionnement le statut des personnages du documentaire : au-delà de leur existence pour le réalisateur, quels sont-ils ? Disposent-t-ils d’une liberté quelconque vis-à-vis du projet de celui-ci ?
Les images à l’heure de la numérisation inspirent deux films d’animation : 00:06:03:08 d’Angelo Picozzi, démonstration implacable de la dématérialisation électronique, et Startle Pattern de Erick Patrick, hommage élégiaque au cinéma et à ses salles. Alors que Michael Brynntrup prend à bras le corps la mise en spectacle individuelle que permettent l’ordinateur et le net dans Face it ! (Cast yourself™).
Dans Mon nom de David Liver (qui nous annonce que « Ce que vous allez voir n’est pas un film »), ou La course des astres de Alexandra de Ville de Goyet, ce sont les codes narratifs qui sont ébranlés.
Citons aussi la radicalité de Peter Tcherkassy, réalisateur autrichien, qui, dans Instructions for a light and sound machine, revient sur la violence de la prise d’images et la fatalité qui y est inscrite.
Si de nos jours on chante régulièrement la fin inévitable du cinéma tel qu’on l’a connu, certains persistent à explorer encore et toujours sa nature. La recherche de Catherine Bareau dans sa performance, Le noir éclaire, est plutôt du côté d’une phénoménologie de la projection cinématographique. Quelle est cette expérience dans le noir, où les images regardent aussi les spectateurs ?

ENGAGEMENT
Il y toujours eu des cinéastes mus par le désir de s’impliquer dans des luttes sociales et politiques avec leurs caméras, de proposer une contre-information ou tout simplement de faire des films avec des gens qui d’ordinaire n’en auraient pas la possibilité.
Rocky Road to Dublin est un film qui dénonce, avec énergie et élégance. Inspiré par la Nouvelle Vague française, tourné en 1967 avec Raoul Coutard à la caméra, et sorti en 1968, Peter Lennon a voulu mettre l’Irlande face à ses contradictions, considérant que ses leaders avaient trahi les principes qui avaient mené à l’indépendance en 1921. Il permet, entre autres, de mesurer ce qui a pu changer, ou pas, depuis.
Dans Li fet met (Le passé est mort) de Nadia Bouferkas & Mehmet Arikan, ce sont des laissés pour compte de la révolution algérienne, qu’ils aient été du côté du FLN, harki, ou réfugiés du terrorisme des années 1990, qui s’expriment.
Avec Recycling the Newsreel, Ivora Cusack et James Schneider donnent la parole à Paul McIsaac (personnage dans plusieurs films de Robert Kramer) qui retrace les activités des collectifs Newsreel à la fin des années ’60 aux Etats-Unis. Ces regroupements ont oeuvré auprès des mouvements pour les droits civiques, et contre la guerre au Viêt-Nam, aux côtés de leurs protagonistes.
Plusieurs collectifs et ateliers de réalisation actifs aujourd’hui sont présents dans la programmation du Festival : 360° et même plus, (Un cas d’école) basée à Marseille, Sans Canal Fixe de Tours (Université terre d’asile, L’indépendance, Lettre de l’étranger) et La Famille Digitale (100 jours) de Poitiers, Studio de Scupture Sociale de Paris (Plastik(s) du travail), l’Atelier Graphouï (Gens du Petit Château) et AJC ! (Sonate blanche) de Bruxelles. Des films qui impliquent le plus souvent une réalisation à plusieurs mains, montrant des réalités proches de nous, fabriqués avec, et non pas sur, les gens.

INCLASSABLES ?
Parmi les œuvres inclassables, celle de Lou Castel, Le Tube. Lou Castel n’est pas seulement un acteur connu. Depuis une dizaine d’années il fait aussi ses propres films, avec une résolution redoutable. Nous montrons Le Tube, qui, dans le refus d’un montage quelconque, donne à voir seize films en même temps à l’écran, tous faits à partir de la découverte d’un tube d’aération comme viseur.

Dans Istanbul Martine Rousset prend le contre pied de cet éclatement kaléidoscopique de la représentation. La cinéaste a tourné des images pendant plusieurs séjours dans cette ville, sur plusieurs années. A partir de celles-ci, de ces empreintes, elle tente de donner à voir la trace de ces temps croisés et tissés ensemble, d’en trouver le rythme essentiel et, comme elle dit, infini de cette ville. Un film qui propose au spectateur une façon sensible d’y être présent.

Il y a ceux aussi pour lesquels on pourrait dire : le film, c’est moi ; ceux pour lesquels l’acte de filmer est un mode de relation privilégié au monde. Nous pensons à Pierre Merejkowsky qui dans Filmer et punir, alors qu’il mène une enquête sur les droits d’auteur du chant de L’Internationale, continue à se mettre en scène comme un corps burlesque. A Olivier Fouchard aussi, qui travaille la pellicule comme une matière picturale, couche par couche, comme le reflet de son va-et-vient entre son atelier et le monde.

APPEL AUX ESPRITS CURIEUX !
On prendra soin de ne pas céder à la tentation de limiter cette sélection à des thématiques, sous peine d’en affadir le tonifiant coq-à-l’âne qui fait de chacun des films présentés des oeuvres que caractérisent plutôt leur indépendance esthétique et économique, et leur salutaire impertinence.
Des films portés par une poésie que rien ne peut réduire.

N.B. En regardant bien ce programme 2008, on remarquera que l’eau y est très présente – de celle filmée de près par Christian Lebrat dans V1 jusqu’à la mer que prennent les pêcheurs dans Esprit de corps. Ce n’était pas un critère de sélection, mais peut-être que d’une manière inconsciente elle s’est imposée à nous : indispensable à nos vies, passage vers l’ailleurs, élément que l’on n’a pas encore réussi à domestiquer tout à fait, l’eau fait encore rêver… !



SEANCES SPECIALES

Depuis plusieurs éditions, parallèlement à la sélection, nous proposons des projections spéciales qui permettent d’apprécier les œuvres d’un auteur, d’un collectif, provenant d’un pays en particulier ; des démarches artistiques singulières et proches, dans l’esprit, des préoccupations qui sont les nôtres. Il s’agit de Jean-Claude Rousseau, qui filme le passage du temps et de la lumière, guettant l’heureux et nécessaire hasard, Christian Merlhiot, qui expérimente plusieurs manières d’écriture cinématographique, Vivienne Dick, qui mélange scènes documentaires et scènes jouées pour élaborer ses films qui posent question, e.n.o.s., avec sa grande attention au détail, et Denis Vedelago, qui s’essaie à la mise en scène de narrations aléatoires.

Né en 1946, le cinéaste Jean-Claude Rousseau commence à filmer en 1983. Il explore sans cesse le cadre des images, la lumière qui y est captée et le temps qui y passe, la place et le personnage du cinéaste. Ses films ont été projetés dans de nombreux festivals. Il a obtenu notamment le Grand Prix du Documentaire Belfort en 1999 et le Grand Prix du Festival International de Marseille en 2007. Nous présenterons un programme de ses long-métrages : Les antiquités de Rome (1989, 105 min, 16mm), La Vallée Close, (1995, 140’, 16mm) et son dernier film De son appartement (2007, 70 min, vidéo). Ces séances sont présentées en collaboration avec l’équipe de Dérives, une jeune revue de cinéma qui a consacré son premier numéro à Jean-Claude Rousseau.

Christian Merlhiot est aujourd’hui enseignant à l'école Camondo de Paris, il est actuellement responsable pédagogique au Pavillon, laboratoire de création du Palais de Tokyo. C'est un des membres fondateurs de l'association PointLignePlan, qui, avec la complicité du Centre National des Arts Plastiques et de la Fémis, présente des travaux d’artistes développant une approche singulière des images en mouvement et du récit.
Les films de Christian Merlhiot se caractérisent à nos yeux par la diversité de leurs formats, de leurs durées, des sujets traités, ce qui tend à annuler toute tentative d'identification au cinéma d’auteur. L'homogénéité de son travail tient plus dans la posture rigoureuse et méthodique avec laquelle il questionne la dialectique de l'image, qu'elle soit documentaire, fiction, ou journal intime. Les films suivants seront projetés : Journal de l’Atlantique (1995, 26min., vidéo) Le voyage au pays des vampires (2001, 60 min., vidéo), Chronique des Love Hotels au Japon (2003, 30 min., vidéo) Silenzio (2005, 75 min., vidéo).

A la fin des années 1970, après ses études à l’école des Beaux-Arts à Dublin, Vivienne Dick est partie pour New York, à un moment où le milieu punk y était en pleine effervescence. Par le biais de la Millenium Co-op elle a appris à filmer en Super 8mm et est devenue l’un des cinéastes du mouvement No Wave. Ses films sont tournés avec ses ami(e)s, dans une grande complicité. La caméra, dans sa main, est une extension du corps, participant pleinement aux scènes filmées. Les films de Vivienne nous ont séduit par la liberté de leur forme, passant allègrement du ‘documentaire’ à la ‘fiction’. Musiques, publicités et textes off amènent un contrepoint à l’image. Elle procède souvent par collage, et souvent avec humour, pour soulever des questions autour du genre, du rôle des femmes et de l’emprise du capitalisme sur nos vies.
Les films : Liberty’s Booty, (1980, 47 min.) autour de la question de la prostitution féminine, ou c’est la photographe Nan Goldin qui joue l’entremetteuse, Like dawn to dust (1983, 5 min.) avec Lydia Lunch et Visibility Moderate,(1981, 38 min.), faux journal de voyage en Irlande.

e.n.o.s. : selon ses propres mots, est « traversées d’expériences formatrices : scénographie (Théâtre de la Satire, Opéra de Lyon), enseignement (Ecole Supérieure d’Art de Grenoble), résidence (CICV Montbéliard/Belfort qui fut centre international de cinéma/vidéo). Sur toutes ces années, une constante, celle de saisir ce qui dans le moment me semblait inévitable et ce par tous les moyens : couleur, écrit, filmage ou même, rester plantée à ne rien faire. »
Nous lui proposons une carte blanche intitulée Ce que ma caméra m'a montré. « Tentative pour montrer ce que ma caméra m'a montré et vérifier dans ce contexte "inattendu", le sens nouveau, peut-être, de ces blocs images-sons. »
Denis Vedelago recherche une écriture vidéographique et sonore dynamique. Ses installations vidéo sont conçues comme une tentative de créer des films « poussant par le milieu », ne possédant ni début, ni fin, ni durée.
« Le but n’est pas de concevoir un objet fini, mais une oeuvre en devenir. Composé de plusieurs milliers de boucles vidéos sonores d’une durée variant de 1” à 1’30”, chaque film est présenté en multidiffusion sur quatre écrans à partir d’un ordinateur dédié, relié à un vidéoprojecteur. Cadencée par l’horloge de l’ordinateur, chaque boucle est appelée sur l’un des quatre écrans de façon aléatoire pour un temps lui aussi aléatoire. Les quatre écrans se répondent dans un univers visuel et sonore hypnotique mêlant aux images vidéo, paroles, écriture (apparaissant en bancs-titres), bruits, musique. La narration émerge par îlots de sens, frôle l’abstraction en jouant sur des juxtapositions éphémères d’images.»

SEANCES SPECIALES FESTIVALS ETRANGERS
Nous présentons plusieurs séances consacrées aux festivals d’Europe qui développent une ligne éditoriale proche de la nôtre.
Il s’agit du FILOFEST en Slovénie, de OPEN CINEMA à Saint Petersbourg en Russie, ONE MINUTE, ONE SHOT à Yerevan en Arménie, du festival BUSHO à Budapest en Hongrie, du festival TABOR en Croatie, de MEDIAWAVE à Györ en Hongrie, de ALTERNATIVE à Belgrade en Serbie et du OFF (Online film festival) de Cologne
Des films issus de la sélection des Inattendus en 2006 ont déjà été projetés lors de certains de ces festivals en 2007.
Dans le cadre des séances que nous consacrons à l’Irlande, nous présenterons aussi des films issus du festival DARKLIGHT à Dublin.
Nous montrerons également une sélection de films du OFF (Online film festival) de Cologne, qui, comme son nom l’indique, assure la visibilité de sa sélection principalement sur Internet, mais aussi par l’organisation de projections.

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