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Irène Bignardi présente la programmation de Locarno

Festival de Locarno du 3 au 10 Aout
Interview du Programmateur Artistique du festival



Comment est composée la sélection officielle de l’année 2005?

Comme le veut la tradition, la sélection comprend les films de la Piazza Grande, la Compétition Internationale, la Compétition Vidéo, les Cinéaste du Présent, In Progress, les Léopards de Demain, la rétrospective «The Magnificient Welles», et les Programmes spéciaux Portes Ouvertes, Human Rights, et une série d’événements exceptionnels.

Le travail de la sélection, comme cela a déjà été dit, semble devenir plus important d’année en année, et le nombre de films à visionner chaque année semble augmenter lui aussi.

En effet, d’après les statistiques dont nous disposons, l’année qui a précédé mon arrivée, le Festival avait visionné 591 films. En 2001, il y avait déjà 921 titres. Cette année, nous avons atteint 1228 longs-métrages envoyés directement à Locarno, en provenance de 77 pays.
Pour les Pardi di Domani le nombre de films a aussi nettement augmenté, en passant de 252 titres visionnés en 1999 à 488 cette année.
Mais aux films proposés directement à Locarno il faut ajouter les projections organisées dans le monde entier, qui proposent au moins 300 films supplémentaires.
Un nombre élevé de films que nous pouvons heureusement partager constamment avec les membres de la Commission des Programmes.

Et après ce très long voyage dans la production cinématographique mondiale, quelles sont vos réflexions sur les films de 2005 ?

A la fin de tous nos voyages, nous nous sommes aperçus que 2005 est probablement une année difficile et complexe pour la production internationale. Nous n’avons pas remarqué – il est vrai - de pays particulièrement en difficulté, mais tous ont en commun un cinéma d’auteur relativement peu présent. Est-ce une coïncidence si cela se produit alors qu’entrent en vigueur dans de nombreux pays des aides financières qui favorisent les films de box-office et pénalisent encore davantage les films d’auteurs ? Et les lois du marché ? Il faudra peut-être deux ans pour parvenir à interpréter avec certitude le phénomène et s’interroger sur les solutions possibles. Ce qui est sûr, c’est que par exemple, l’année dernière, les derniers jours précédant la Conférence de Presse ont été consacrés au choix épineux des derniers films dans un panel de candidats de très bonne qualité. Cette année, au contraire, la recherche s’est poursuivie jusqu’au dernier moment pour parvenir à composer le programme que nous voulions et qui nous remplit d’enthousiasme. Un programme qui est non seulement très riche en style et en tensions narratives, mais qui est aussi représentatif de 38 pays, du Khirgizstan au Liban, du Japon à l’Irak, de la Bosnie à la Finlande, de la Corée du Sud à
l'Afghanistan.

Le nombre de films présentés à Locarno est depuis des années objet de débats, de polémiques, d’interrogations et de répliques… Et Locarno 2005 ?

L’abondance des films à Locarno est à notre avis une question superflue. Comme l’accusation qui – on raconte – fut faite à Mozart par quelque envieux, de mettre trop de notes dans ses compositions. Ce n’est pas une question de quantité, mais une question de nécessité et de qualité. Si les films présentés sont nécessaires et beaux, ils ont tous droit à une place dans le Festival. Le problème, s’il y en a un, pourrait venir d’une éventuelle absence de justification à leur présence, ce qui ne nous semble absolument pas concerner nos sélections. Il faut ajouter aussi que le nombre de films qui composera notre programme répond à une forte exigence culturelle et informative.
Certains films que nous projetons à Locarno représentent l’alternative à la distribution traditionnelle. A Locarno, les spectateurs nationaux et internationaux ont l’opportunité de voir des œuvres qu’ils n’auraient jamais la possibilité de trouver dans les cinémas de leur ville. Et Locarno répond aussi aux exigences d’un public extrêmement cinéphile, passionné, qui veut voir 5-6 films par jour, et qui étudie ses itinéraires à travers la programmation, en suivant ses goûts – des goûts qui coïncident généralement avec la ligne culturelle du Festival.
Quoi qu’il en soit, en termes de chiffres, il y a 15 films à la Piazza Grande, 21 en Compétition Vidéo, 28 dans les Cinéastes du Présent, 75 dans la rétrospective Welles, 7 pour l’hommage rendu à Vittorio Storaro, et 16 en Compétion Internationale, plus un film projeté dans la sélection officielle, mais hors compétition.

Quels sont les thèmes ou les caractéristiques qu’ont en commun les 16 films de la Compétition Internationale ?

Dans la Compétition, on peut distinguer trois lignes directrices, dont deux sont typiques de Locarno : d’un côté, un traitement d’auteur de thèmes personnels, et de l’autre, une forte présence de thèmes sociaux. Cette année, il est cependant intéressant de remarquer aussi l’émergence de films à tendance « fantastique » dans la Compétition.
En clôturant le programme l’année dernière, nous nous sommes aperçus combien le drame du World Trade Center et la guerre en Irak avaient fondamentalement pesé sur les consciences des réalisateurs. En conséquence, la très grande majorité des films que nous avons pu voir traitait de l’histoire, de la politique, s’interrogeait sur la société. Cette année, dans l’alternance des centres d’intérêts que le sismographe de la culture et de l’art enregistre si bien, nous sommes passés du contrecoup politicosocial à l’introspection, à l’analyse psychologique, à la dimension onirique, au monde fantastique. Ainsi, la dimension fantastique de The Piano Tuner of Earthquakes des frères Quay ou de Mirrormask de Dave McKean est en réalité un voyage psychanalytique à l’intérieur du moi. Et d’une certaine manière le fantastique concerne aussi le film 20 cm de Ramon Salazar, qui raconte une histoire personnelle - celle d’un transsexuel qui ne parvient pas à se défaire de 20 cm embarrassants pour entrer dans une nouvelle vie - avec la grâce fantastique d’une comédie
musicale.
La recherche psychologique est la clé de lecture d’autres films, comme le remarquable Un Couple Parfait, de Nobuhiro Suwa - qui analyse avec une subtile sensibilité et un style très original sa crise de couple - ou de Keller, portrait angoissant de deux adolescents qui cherchent leur identité morale et sexuelle dans une attitude violente et désespérée. Des histoires « personnelles » sont au centre de Nine Lives de Rodrigo Garcia, et de Snow White de Samir, qui met en scène une comédie zurichoise à travers le personnage d’une jeune femme aussi belle que dérangée.
Tandis que dans le film de Capuano, La Guerra di Mario, la personnalité perturbée et le destin d’une petite frappe de 10 ans, adoptée par une famille d’intellectuels aisés, deviennent, en filigrane, un douloureux J’accuse contre la superficialité avec laquelle les hommes politiques et les intellectuels traitent les problèmes de Naples.
Voilà pour ce qui concerne les films « narratifs ». Pour une fois, cependant, nous avons décidé d’introduire dans la section, mais hors compétition, un film borderline : Face Addict, de Edo Bertoglio. Ce film est aussi un documentaire : c’est l’histoire autobiographique, et très touchante, du grand photographe suisse, qui reparcourt sa vie et rencontre aujourd’hui ses amitiés des années de son séjour à New York, dans l’entourage d’Andy Warhol, de Basquiat, de Chelsea Hotel et de la drogue.

Locarno fête en 2005 les 10 ans de la Compétition Vidéo, une compétition qui a pris une importance de plus en plus grande dans les dernières années, et dont le programme accueille cette année des auteurs d’envergure internationale.

En jetant un regard rétrospectif sur les 10 années de la Compétition Vidéo, on constate que Locarno a fait le bon choix. Parce que les auteurs qui sont passés dans cette section ont mûri et ont atteint une renommée mondiale, en confirmant que la vidéo est un nouveau langage, important, et capable, surtout, de justifier sa propre existence à travers les résultats. Pendant ces années, sont passés à Locarno des noms comme Alexander Sokurov, Raoul Peck, Jean-André Fieschi, Danielle Arbid, Harun Farocki, pour n’en citer que quelques-uns. Et, pour confirmer le succès et la pérennité de cette section, cette année aussi plusieurs artistes de renom comme Laurie Anderson ou Mike Figgis ont choisi Locarno pour présenter leurs œuvres.
Dans la Compétition Vidéo deux âmes co-existent dans un équilibre juste et dialectique : la vidéo en tant que choix formel de recherche esthétique et expérimentale, et la vidéo en tant qu’instrument choisi pour sa légèreté et son économie, pour la possibilité de tournages dynamiques et rapides. Ceci est particulièrement important dans le cas des histoires minimalistes, comme celle racontée dans So much rise du chinois de Li Hongqi, qui supporterait mal l’appareillage technique des lumières et des machineries.
A l’extrême opposé, Laurie Anderson, avec Hidden Inside Montains, choisit l’électronique pour réaliser une vidéo en parfait équilibre entre l’art vidéo et la narration. Avec Haze, Shinya Tsukamoto ne pourrait pas davantage raconter son histoire avec un instrument autre que la vidéo, ni Mike Figgis avec Coma.
Une autre section fondamentale de Locarno : Cinéastes du Présent. Les passionnés,
les curieux, les cinéphiles y trouveront-ils leurs coups de cœur ?
Nous sommes particulièrement satisfaits de la section Cinéastes du Présent, parce que le panorama passionnant issu de la sélection de cette année a confirmé que c’était un cadre idéal, que chacun des films sélectionné n’aurait pu aller dans la Compétition Officielle. Non qu’il n’ait pas été à la hauteur, mais parce que chaque film témoigne de la spécificité de la section, de sa volonté d’obtenir le meilleur résultat avec la plus grande économie de moyens narratifs et formels. Il est difficile de donner des généralités concernant les Cinéastes du Présent, parce que chaque film est porteur d’une proposition esthétique, d’une spécificité, d’une urgence narrative qui le fait échapper à toute catégorisation. Nous pouvons cependant oser quelques considérations valables pour la compétition : dans les Cinéastes de Demain, les réalisateurs de longs-métrages de fiction s’interrogent eux aussi sur l’intime, sur les choix de la vie, sur la sphère privée. Tandis que l’engagement politique et social demeure au contraire très vivace chez les réalisateurs qui choisissent le documentaire comme forme d’expression.
D’un côté, nous trouvons ainsi l’espace privé, perturbé, de Frankie, de Fabienne Bertrand, qui raconte l’histoire d’un top model dont l’équilibre mental est dévasté par le succès. Ou un film, très inventif autant formellement que dans la manière dont il a été tourné : Rag Tale, de Mary McGuckian, qui semble presque une suite idéale à notre rétrospective de l’année dernière. Tandis que – c’est une coïncidence significative - les deux longs-métrages italiens sélectionnés (Sangue de Libero Rienzo et Gas de Luciano Melchionna) profondément différents l’un de l’autre, trouvent dans le mal-être des jeunes métropolitains la matière de leur narration.
De l’autre côté, dans le cinéma documentaire, domine la présence des grands événements de notre époque, comme dans Giant Buddhas de Christian Frey, qui retrace l’histoire d’un des grands drames de l’Afghanistan contemporain, ou In un altro paese, de Marco Turco, qui dessine un tableau passionnant et désolant de l’histoire récente de la Sicile en lutte contre la Mafia.
Et qu’est-ce que pourra attendre le public sur la Piazza Grande, véritable luxueux salon du Festival ?
La Piazza Grande offre l’écran le plus grand d’Europe, et le miracle de pouvoir découvrir un film présenté sous les étoiles, tout en bénéficiant de la même perfection technique d’une salle parfaitement équipée. Et cette année, nous avons décidé d’accueillir dans ce luxueux salon, en invitant les hôtes les plus appréciés et les plus importants, les symboles du cinéma que nous avons toujours aimé et qui a été présent à Locarno durant toutes ces années, avec des noms et des titres différents.
Exceptionnellement, donc, cette année qui conclut un cycle pour le Festival du Film de Locarno, nous attribuerons trois Léopards d’Honneur, qui seront autant d’occasions de célébrer trois manières de faire du cinéma, toutes aussi curieuses, stimulées par le même art, par la même passion fantastique : l’œil européen de Wim Wenders ; le très grand art d’un maître du cinéma de la simplicité comme Abbas Kiarostami; et l’ironie débordante, géniale, fantastique de Terry Gilliam.
Dans notre salon luxueux, nous inviterons aussi un des plus grands acteurs du monde, John Malkovich, représentant d’une école d’acteurs ironique et ludique, seul acteur au monde dont le nom est devenu le titre d’un film. Le Prix Rezzonico célèbrera l’excellent travail de Jeremy Thomas, un producteur indépendant qui a produit dans les 30 dernières années plusieurs films de très grande qualité. Enfin, au lieu de célébrer une personnalité, la clôture du Festival rendra hommage à un film dont ce sera le 30ème anniversaire : Nashville, de Robert Altman, film d’une fulgurante actualité, qui sera accompagné par son interprète Geraldine Chaplin, avec laquelle nous clôtureront un parcourt de choix, de recherche, et de coups de cœurs,
qui nous semble cohérent.
Naturellement, de nombreux films nouveaux seront présents dans la Piazza Grande :
cette année, après la présentation de Lagaan en 2001, nous saluons un nouveau produit de la meilleure Bollywood, The Rising, de Ketan Mehta, qui ramène à Locarno aussi Aamir Khan. De la France, nous arrive une histoire fantastique : Zaïna, cavalière de l’Atlas, de Bourlem Guerdjou, qui montre combien l’imaginaire européen, depuis les Mille et Une Nuits, a toujours été attiré et fasciné par les légendes arabes. De l’Afrique du Sud nous parvient une très belle histoire de rachat social à travers l’art du cirque avec The Flyer de Revel Fox. David LaChappelle, avec Rize, nous propose une extraordinaire aventure métropolitaine très intense.
Murderball nous raconte comment un groupe de paraplégiques retrouve le goût de la vie et son orgueil à travers le sport…
C’est vrai, dans la Piazza Grande, il n’y aura pas de grands blockbusters américains.
Une absence qui n’est ni voulue, ni souhaitée. Malheureusement, les problèmes de piraterie s’aggravant, les blockbusters sont devenus pratiquement inaccessibles pour le Festival de Locarno, tant qu’il aura lieu à ces dates. La piraterie, contre laquelle les grands studios combattent surtout avec la prudence, ne concerne pas seulement la copie illégale de film sur dvd, mais aussi la mise à disposition des films sur internet.
Et, c’est compréhensible, si un film arrive sur internet avant sa sortie américaine, le préjudice financier est incalculable. Les grands rendez-vous de la distribution américaine sont le 4 juillet pour l’été et Thanksgiving pour les sorties de l’automne.
Malheureusement pour Locarno, les films distribués aux Etats-Unis le 4 juillet sont distribués dans le reste du monde durant le mois, tandis que les films de l’automne, même s’ils sont prêts, ne sont prêtés pour aucune avant-première, parce qu’un tournage vidéo pirate du film pourrait entraîner sa diffusion illégale sur internet. Pour le moment, il n’y a pas de solutions: ce que nous pouvons souhaiter, c’est une plus grande collaboration entre les parties pour en trouver une.

En plus des sélections officielles, Locarno 2005 propose avec orgueil une rétrospective monographique très attendue « The Magnificent Welles », et un événement spécial très particulier.
Après la grande rétrospective consacrée en 2002 à Allan Dwan, qui a été aussi une redécouverte, et après deux années de rétrospectives thématiques, nous sommes revenus à une rétrospective monographique consacrée à Orson Welles, « The Magnificient Welles ». Ce qui distingue cette importante rétrospective de Locarno des autres initiatives développées au fil des ans, c’est que tous les jours, après chacun des films achevés ou inachevés de Welles, le public pourra assister à une rencontre avec les témoins, les spécialistes, les personnes qui ont suivi pendant des années les restaurations et les aventures du très complexe archipel qu’est le cinéma wellesien. D’une certaine manière, ces moments seront aussi importants que les projections des films elles-mêmes, parce ces approfondissements apporteront de nouvelles contributions critiques et historiographiques à ce monument jamais achevé mais infini qu’est Orson Welles.
Un autre événement qui mêle à la fois l’actualité et une dimension « cinémathèque » est représenté par Yo Soy Cuba, le film de Kalatosov, qui a ouvert la saison du cinéma cubain avec une imposante contribution soviético-cubaine, et Soy Cuba el mammuth siberiano, le documentaire réalisé cette année sur le travail de ce film extraordinaire, et sur le monde du cinéma et de la culture cubaine, au lendemain de la révolution.

Mais Locarno est aussi, et surtout, un lieu de rencontres pour les professionnels, grâce au programme Portes Ouvertes, et aux autres rencontres organisées par l’Industry Office.

Au cours des cinq dernières années, la tradition d’un week-end de rendez-vous entre
producteurs indépendants autour de l’événement Portes Ouvertes, s’est consolidée presque spontanément. A ce week-end se sont associés d’abord les Fondations qui soutiennent le cinéma d’auteur – Fond Sud, Hubert Bals de Rotterdam, la récente Vision Sud Est et la Fondation World Cinema Fund, liée au Festival de Berlin. Puis, depuis l’année dernière, est née une collaboration avec la Résidence du Festival de Cannes à Paris, qui prévoit qu’à Locarno soit fait le premier pitch de la deuxième œuvre développée pendant le séjour parisien des réalisateurs choisis pour la session de printemps. Enfin, Portes Ouvertes est surtout une rencontre professionnelle.
L’occasion d’une rencontre entre des cinéastes d’une partie du monde – d’abord de Cuba, puis du Mekong, et cette année du Maghreb - avec un projet à financer et des producteurs susceptibles de monter une co-production dans ces régions. Les films présents à Portes Ouvertes sont d’abord destinés à servir de documentation pour accompagner les réalisateurs, et, en second lieu, à découvrir par le public.

Les travaux de la section consacrée aux Droits de l’Homme se poursuivent cette année…
Pour la troisième année, nous avons la section consacrée aux Droits de l’Homme, qui a pris de plus en plus d’autorité, et qui est de plus en plus convoitée par ceux qui font du cinéma dans cette perspective. Seize films ont été choisis, parmi lesquels on distingue deux films qui viennent de l’Irak : Little Birds de Takeharu Watai et Voices of Iraq, conçu par Eric Manes et Martin Kunnerth, mais tourné et dirigé par des femmes, des personnes âgées et des enfants, auxquels ont été confiées 150 caméras pour raconter “leur” réalité.

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